Aux anciens campeurs et à tous leurs amis et connaissances, nous fixons donc ce rendez-vous chaque mois. En retour, s’ils le désirent, ils pourront copier le texte ou nous dire un petit bonjour en nous donnant de leurs nouvelles ou poser une question. Merci et à bientôt.
L'équipe de Tourne-Bride.
Nos familles
À juste titre, beaucoup s'émeuvent de l'éclatement de la cellule familiale. Car la famille est la structure sur laquelle est fondée toute société.
La Bible parle beaucoup de la famille. Elle nous dit que Dieu est à l'origine de toute famille (Éphésiens 3. 15). La maison du croyant est placée dans une position de privilège mais aussi de responsabilité.
– De privilège car c'est le désir de Dieu de sauver la famille du croyant. Il est vrai que chaque membre de cette famille devra croire personnellement en Jésus Christ pour être sauvé, mais le plan de Dieu est bien de bénir une telle maison. C'est ainsi que, par la foi, Noé bâtit une arche “pour la sauvegarde de sa famille” (Hébreux 11. 7)de sorte que lui et les siens échappèrent au déluge.
– De responsabilité car les parents doivent enseigner à leurs enfants les précieuses vérités de la foi et les mettre en pratique devant eux. Heureuse est la maison où parents et enfants ont l'habitude de se retrouver un moment ensemble pour lire la Bible, prier et chanter des cantiques! Les enfants y seront élevés “dans la discipline et sous les avertissements du Seigneur” (Éphésiens 6. 4).
Mais, direz-vous peut-être, ce tableau idyllique ne ressemble pas à celui de ma maison… Voudriez-vous que cela change? Laissez alors Jésus Christ entrer dans votre foyer et y avoir toute sa place. Il vous dit comme à Zachée: “Il faut que je demeure aujourd'hui dans ta maison” (Luc 19. 5).
Un peu de repos.
Qui de nous, fatigué à l’extrême, n’a pas souhaité prendre un peu de repos, se détendre, faire relâche… En ce moment-là, on prend conscience qu’il est nécessaire de se reposer un peu, voire qu’il serait bien téméraire et peu prudent de vouloir continuer. Mais le Maître, béni soit-il, plein de compréhension et d’empathie pour les siens, le sait mieux qu’eux et leur ménage ces temps de repos.
Est-ce forcer les choses que de mentionner que les auteurs des psaumes le savaient aussi, eux qui, plus de 70 fois ont indiqué : Pause ?
L’institution du sabbat est une indication qui nous permet de déduire que notre Dieu n’est pas du genre esclavagiste. Il souhaite que Ses ouvriers soient en bonne santé et en bonne forme.
Il en est de même pour ceux qui sont engagés à plein temps dans l’œuvre de Dieu. Des moments de repos leur sont nécessaires et bienfaisants, autant qu’à d’autres ouvriers. Veillons à ce que ceux qui travaillent dans notre église locale soient sages et raisonnables dans ce domaine. Notre église et nous-même en serons les heureux bénéficiaires. Et pourquoi ne leur offririons-nous pas nos services afin d’alléger d’autant leurs charges ? Il y a certainement des besognes qui sont à notre portée.
Yvan Dussart, MQ 22 septembre 2014
Mars 2015
(Méditation Quotidienne, 2014, écrite par Yvan Dussart)
"Si quelqu'un de vous manque de sagesse, qu'il la demande à Dieu qui la lui donnera, car il donne à tous, généreusement et sans faire de reproche; il faut cependant qu'il la demande avec foi, sans douter." Jacques 1/5-6.
LA SAGESSE
Une note, dans ma Bible indique qu'il s'agit d'une sagesse pratique, celle du livre des Proverbes, dans l'Ancien Testament (1). C'est-à-dire celle qui était désirée et sollicitées par les hommes pieux (2). Elle permet de découvrir et de pratiquer ce qui est juste, d'opérer les bons choix, de prendre le bon chemin.
Quand on en manque, une seule chose à faire, toute simple: la demander à Dieu.I Il donne à tous, sans acception de personne Ses réponses seront franches, abondantes, précises. N'est-ce pas un appel de plus à la foi et à la confiance en Dieu?
Dieu donne à tous... simplement, sans condition, sans tenir compte de nos mérites -si tant est que nous en ayons. Dieu ne nous doit rien. Il donne tout. Il est le Dieu de la grâce, qui fait grâce!
Simplement et sans reproche, nous est-il dit. Par ses dons abondants, Dieu ne veut pas nous posséder, nous dominer, mais, au contraire, Il veut nous enrichir et nous épanouir pour que nous soyons heureux avec Lui sur le chemin de tous les jours.
Demandons simplement la sagesse qui nous manque et recevons-la tout aussi simplement, afin que nous soyons riches de la vraie richesse pour nous qui sommes si pauvres en réalité.
Yvan Dussart.
(1) cf Prov.2/3-6. (2) psaume 51/8.
Février 2015
(Méditation Quotidienne, 2012, écrite par Yvan Dussart).
Soumettez-vous donc à Dieu, résistez au diable et il fuira loin de vous. Jacques 4/7.
Soumission et résistance.
Se soumettre. Voilà une attitude bien difficile à adopter. Que ce soit aux lois du pays, au patron, aux parents, aux anciens de l'église..., le coeur humain réchigne à se soumettre à qui que ce soit. Il aurait plutôt tendance à vouloir dominer toutes choses et tout le monde. L'exhortation de Jacques est donc difficile à accepter et à vivre.
Pourtant, c'est indispensable à cause du diable -sinistre personnage, s'il en est- auquel il faut résister si l'on veut garder son intégrité et se conduire dignement. Cette résistance ne sera possible et efficace que dans la mesure où nous nous soumettons à Dieu. Notre soumission à Dieu fera que le diable -si terrible, dit-on- se révélera n'être qu'un poltron qui prend la fuite à la moindre résistance.
Résister, c'est d'abord être en bons termes avec Dieu, le prendre au sérieux et accomplir ses paroles dans la vie de tous les jours. Ensuite, à la moindre tentation, c'est invoquer le nom de Jésus, lui qui a vaincu le diable et les puissances de ténèbres.
Il faut le savoir et le mettre en pratique, c'est fou ce que ça change la vie chrétienne.
Yvan Dussart~ 2011.
Le bon Samaritain
Un homme demande à Jésus: “Qui est mon prochain?” Jésus lui répond par une parabole: un homme s'est fait agresser par des voleurs; il reste sur le bord du chemin, gravement blessé. Un responsable religieux passe à côté de lui, puis un autre homme religieux. Mais ils continuent leur chemin sans rien faire pour l'aider. Un homme de Samarie, méprisé par les Juifs, passe à son tour. Rempli de pitié, il soigne le malheureux et le transporte dans une auberge, le confie aux soins de l'hôtelier et paye la dépense.
Jésus demande alors qui a été le “prochain” de l'homme blessé. Il place ainsi son interlocuteur, non dans la position du bienfaiteur, mais dans celle du malheureux qui dépend des soins d'un étranger méprisé. Et l'homme reconnaît que le prochain, c'est bien le Samaritain. Jésus conclut: “Va, et toi, fais de même”.
Le blessé représente l'homme malmené par Satan, qui abandonne ses victimes sans secours au bord du chemin. Les hommes religieux ne peuvent rien pour lui. Ce Samaritain est l'image de Jésus qui est rempli de compassion pour chaque être humain. Il s'approche de lui, le sauve pour l'éternité et le prend en charge.
La conclusion est importante: pour aider les autres efficacement, il faut commencer par être soi-même l'objet des soins de Jésus. Nous devons le connaître comme notre Sauveur. Alors, et seulement alors, Jésus peut nous inviter à faire comme lui. Alors, nous pouvons nous mettre au service de Jésus en faisant connaître son message autour de nous.
Écoutons les informations!
L'homme d'aujourd'hui est un homme informé. Chaque jour, son journal lui offre le monde noir sur blanc. Toute l'année, radio, télévision et internet rivalisent pour qu'il suive en temps réel ce qui se passe sur la planète. Tirons-nous les leçons des informations que nous recevons, collectivement ou chacun en particulier? Par exemple, sommes-nous prêts à nous remettre en cause dans notre mode de vie personnel?
Il y a une autre source d'informations qui est bien moins écoutée. Elle ne devrait pourtant laisser personne indifférent car elle peut transformer nos comportements. On en tient encore moins compte que de tout ce qu'on apprend chaque jour par les médias. C'est un livre, très ancien, certes, mais plus actuel que jamais; il nous renseigne sur notre passé comme sur notre avenir. Il nous expose non seulement des faits, mais aussi leurs causes et leurs conséquences. Il établit les bases morales des relations de l'homme avec son Créateur et avec ses semblables.
Ce livre, c'est la Bible, seule source d'informations à la fois parfaitement sûre et parfaitement utile. Elle est la Parole du Dieu qui nous a créés; il est donc essentiel pour nous de la lire et de tenir compte de ce qu'elle nous dit en suivant ses enseignements. C'est par elle que nous pouvons trouver le vrai sens de notre vie, la fonder et la construire sur une base solide, bâtir notre maison sur le roc, comme le dit l'évangile sous forme imagée (Matthieu 7. 24-27). Il vaut la peine d'écouter son message.
Ceux qui lisent la Bible, qui s'en ''nourissent'' régulièrement (comme je l'ai fait encore ce matin,) y trouvent une véritable nourriture spirituelle. Quand on a réalisé cela, on prend facilement l'habitude de la lire chaque jour. un texte. On peut s'aider en adoptant "un guide"de lecture biblique. Le profit est alors maximum.Donne-moi à boire
“Il lui fallait traverser la Samarie.” Ce n'était pas le seul itinéraire possible pour aller de Judée en Galilée, mais il “fallait” que Jésus rencontre une femme, là, près d'un puits, à Sichar. Toute la vie de Jésus était l'expression de sa grâce, de sa bonté prévenante pour ceux qu'il rencontrait.
Cette Samaritaine vient seule en plein midi, à l'heure où personne ne sort, chercher de l'eau. Elle est probablement méprisée à cause de sa conduite. Humblement, le Seigneur Jésus lui demande un service: “Donne-moi à boire”. Étonnée, la femme fait part de sa surprise. Le dialogue se poursuit avec simplicité et confiance.
La délicatesse de Jésus pour toucher sa conscience et son cœur transparaît quand il lui dit: “Va, appelle ton mari”. Cette parole la touche plus que n'importe quel discours moralisateur. “Je n'ai pas de mari”, répond-elle. Jésus ne la condamne pas, mais l'amène progressivement à l'aveu, à la vérité. Le dialogue n'a rien d'un échange superficiel mais, par la mise en évidence de sa situation morale, il va profondément bouleverser cette femme. Nous préférerions peut-être rester sur le plan des idées, mais Jésus veut toucher notre conscience. Pour nous guérir!
Quelques instants auparavant, elle était seule. Maintenant, poussée par la joie, elle va au-devant de toute la ville témoigner de ce qui lui est arrivé. Son désir est que tous rencontrent Jésus et trouvent par lui cette eau vive à laquelle elle a bu.
Nos familles
À juste titre, beaucoup s'émeuvent de l'éclatement de la cellule familiale. Car la famille est la structure sur laquelle est fondée toute société.
La Bible parle beaucoup de la famille. Elle nous dit que Dieu est à l'origine de toute famille (Éphésiens 3. 15). La maison du croyant est placée dans une position de privilège mais aussi de responsabilité.
– De privilège car c'est le désir de Dieu de sauver la famille du croyant. Il est vrai que chaque membre de cette famille devra croire personnellement en Jésus Christ pour être sauvé, mais le plan de Dieu est bien de bénir une telle maison. C'est ainsi que, par la foi, Noé bâtit une arche “pour la sauvegarde de sa famille” (Hébreux 11. 7)de sorte que lui et les siens échappèrent au déluge.
– De responsabilité car les parents doivent enseigner à leurs enfants les précieuses vérités de la foi et les mettre en pratique devant eux. Heureuse est la maison où parents et enfants ont l'habitude de se retrouver un moment ensemble pour lire la Bible, prier et chanter des cantiques! Les enfants y seront élevés “dans la discipline et sous les avertissements du Seigneur” (Éphésiens 6. 4).
Mais, direz-vous peut-être, ce tableau idyllique ne ressemble pas à celui de ma maison… Voudriez-vous que cela change? Laissez alors Jésus Christ entrer dans votre foyer et y avoir toute sa place. Il vous dit comme à Zachée: “Il faut que je demeure aujourd'hui dans ta maison” (Luc 19. 5).
Sauvés en petit nombre?
Quelqu'un demande à Jésus s'il n'y aura qu'un petit nombre de personnes sauvées. Le Seigneur ne répond pas directement à la question, mais explique ce que chacun doit faire pour être sauvé. “Luttez pour entrer par la porte étroite”. La voie du salut est accessible à tous et elle est la même pour tous: il faut passer par la porte étroite, c'est-à-dire par Jésus crucifié. “Moi, je suis la porte: si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé” (Jean 10. 9).
Entrer par cette porte c'est se reconnaître perdu et croire que Jésus est l'unique moyen pour être sauvé. Il faut renoncer à tout autre moyen humain: œuvres religieuses, adhésion intellectuelle, traditions, éducation…
Avant sa conversion, l'apôtre Paul, un homme très instruit, animé d'un zèle farouche pour sa religion, persécutait les chrétiens. Mais ensuite, tous les avantages qu'il avait reçus de son éducation et de ses fonctions religieuses, il les a estimés “comme des ordures”. Sa foi comptait seulement sur la justice que Dieu donne à celui qui croit (voir Philippiens 3. 9).
Si l'on refuse de venir au Seigneur, de le chercher, de croire en lui, alors on reste loin de Dieu, lié au mal, et on s'expose à entendre cette parole terrible du Seigneur: “Je ne vous connais pas” (Matthieu 25. 12).
Être sauvé, c'est d'abord avoir la vie éternelle par la foi en Christ. Alors seulement nous pouvons mener une vie qui plaise à Dieu et nous appliquer à rester attachés à sa grâce
Etre sauvé est donc une question personnelle. Beaucoup de prersonnes s'inquiètent du sort des autres. C'est une erreur. Chacun pour soi, semble être la règle!. Alors foin des questions idiotes qui détournent de l'essentiel. Jésus est la seule porte par laquelle on entre en contact et dans la présence de Dieu. La Bible est très claire à ce sujet. Jésus est le seul chemin, il n'y en pas d'autre.Un vide dans votre vie?
“Je voudrais vous presser d'accorder priorité à la recherche de Dieu. Laissez son Esprit pénétrer votre être. Pour faire face aux difficultés et aux épreuves de la vie, vous avez besoin de lui. Avant que la barque de votre vie atteigne son dernier port, elle rencontrera des tempêtes longues et indécises, des vents hurlants et impétueux, des mers agitées qui font s'arrêter le coeur. Si vous n'avez pas en Dieu une foi profonde et patiente, vous serez sans force pour affronter les déceptions et les contrariétés, qui sont inévitables. Sans Dieu, tous nos efforts se réduisent en cendres et nos aurores en nuits profondes. Mais avec lui, nous sommes capables de laisser les vallées agitées pour atteindre les sommets de la paix intérieure et découvrir les étoiles radieuses de l'espérance dans les profondeurs des nuits les plus déprimantes de la vie. Saint Augustin l'a bien dit: “Tu nous as faits pour toi, et notre coeur est sans repos jusqu'à ce qu'il repose en toi”. Où trouvons-nous ce Dieu? Où, sinon en Jésus Christ? C'est un acte de foi en lui qui nous conduira à une vraie connaissance de Dieu.”
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Parmi les ruines de Babylone
Celui-ci, c'est mon fils
Un passant assistait un jour, de loin, à une bagarre acharnée entre deux garçons. Soudain, un inconnu surgit. Il empoigne l'un des deux adversaires par le collet, le tire à part, sans un regard pour l'autre, et le gronde énergiquement. Notre spectateur, estimant qu'il est le témoin d'une injustice flagrante, intervient vivement: “Pourquoi donc punissez-vous celui-ci? L'autre garçon est tout aussi coupable!”
L'inconnu le regarde calmement et lui répond: “C'est vrai, mais celui-ci, c'est mon fils!”
Cet homme se sentait responsable de la conduite de ce garçon, parce qu'il était son fils. Il avait à cœur son éducation. L'autre, il ne le connaissait pas et n'avait pas à le corriger.
Quelquefois, les croyants traversent des moments difficiles, alors que tout semble facile pour ceux qui ne se préoccupent pas de Dieu. L'explication se trouve dans la simple réponse de ce père: “Celui-ci, c'est mon fils”.
Si Dieu s'occupe de nous pour nous éduquer, c'est bien une preuve que nous sommes ses enfants. Il s'intéresse à nous et veut notre bien. Et cette éducation paternelle est le privilège exclusif des enfants. Elle est l'expression de son amour fidèle envers eux.
“Mon fils, ne méprise pas la discipline du Seigneur, et ne te décourage pas quand tu es repris par lui; car celui que le Seigneur aime, il le discipline, et il fouette tout fils qu'il agrée” (Hébreux 12. 5, 6). Et plus tard, la discipline produit un résultat heureux et paisible.
Deuxième dimanche de l'Avent 2012,
« Il vous est né un Sauveur »
Ainsi a été annoncée la naissance de Jésus par les anges aux bergers de Bethléhem. Un SAUVEUR !! C'est pour ceux qui réfléchissent sur eux-mêmes, en connaissant bien la réalité de leur état devant Dieu, une terrible réalité. Ils sont perdus !
L'homme naturel est perdu dans ses fautes et ses péchés et sans rien y ajouter d'autre, il est destiné à être séparé de Dieu pour toujours et sans espoir de changement, ni de solution.
D'où la nécessité importante d'avoir un Sauveur tout puissant.
Un Sauveur aux multiples facettes bienheureuses et toutes aussi merveilleuses les unes que les autres. Les qualités et ministères de ce Sauveur sont très nombreux et divers.
La plus importante à mes yeux me semble être celle-ci : BERGER !
Même les enfants tout petits sont très tôt confrontés aux choix multiples et répétés à faire pour trouver son chemin. CHOISIR ! CHOISIR !! Il faut toujours choisir. Choisir, c'est prendre le meilleur et rejeter tous les autres.
Voilà bien une responsabilité qui est faite aux êtres humains.
Choisir ses études. Choisir ses vêtements, sa nourriture, ses études, son conjoint, ... Les choix sont nombreux et divers. Ils n'ont pas tous la même importance que d'autres mais certains choix sont, par contre, d'une importance capitale et vont agir et déterminer la qualité de la vie.
Pour faire le bon choix, il faut être bien informé, connaître le mieux possible la situation, les tenants et aboutissements de ce choix. Il faut étudier, se documenter, et réfléchir sérieusement.
Celui qui se tourne vers Jésus pour le recevoir comme son Sauveur, il reçoit en même temps un BERGER qui va le conduire jour après jour sur le bon chemin, celui qui abouti dans le paradis.
La guidance va s'opérer par le moyen de la lecture régulière de la Bible, la parole de Dieu. Au même moment, il reçoit le Saint-Esprit de Dieu qui vient en lui, dont le rôle sera d'appliquer la Parole lue au cœur du croyant.
La guidance va s'opérer aussi par le moyen de la prière du croyant à son Dieu. Par la prière , le croyant pourra parler à Dieu (*) et lui dire tout ce qu'il a sur le cœur et surtout, Lui demander aide et assistance pour sa vie de tous les jours. Dieu répondra aux prières et éclairera les choix à faire.
Jésus dans le cœur, aussi avec le Saint-Esprit dans le cœur, et la Bible en main, voici le moyen de choisir le bon chemin et d'y marcher avec assurance.
2ième semaine de l'Avent 2012 – Yvan Dussart.
(*) dite à Dieu, au nom de Jésus !! ...
« Voici une bonne nouvelle, c'est qu'aujourd'hui à Bethléhem, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ le Seigneur ».
1er dimanche de l'Avent 2012.
« UNE BONNE NOUVELLE ! La venue d'un Sauveur puissant est toujours une bonne nouvelle pour celui qui, vu sa situation, se sent perdu, en danger de mort. En effet, pour notre texte d'aujourd'hui ; les auditeurs ne le savent peut-être pas tous, mais ils sont perdus, menacés de mort. Oui mais de quelle mort ? De la mort éternelle, spirituelle, c'est-à-dire, être séparés de Dieu. pour l'éternité A cause des conséquences du péché.
C'est pour cela que cette annonce est pour tous les êtres humains une bonne nouvelle. Encore aujourd'hui, pour les humains irréconciliés avec Dieu par Jésus-Christ la séparation éternelle d'avec Dieu les menace.
UN SAUVEUR ! Par sa venue parmi nous et sa mort expiatoire au calvaire , il nous réconcilie avec Dieu. Il est un SAUVEUR tout puissant. Personne ne peut se considérer étranger à cette invitation. Jésus nous appelle tous, indistinctement tous, à venir à Dieu et à recevoir personnellement ce cadeau que Dieu offre à ceux qui se repentent de toutes leurs fautes et en demandent pardon.
IL EST LE CHRIST, LE SEIGNEUR. Le Christ, c'est à dire : Celui qui est choisi. Choisi par Dieu, parmi d'autres, le seul qui soit capable de satisfaire la justice de Dieu. La Bible nous apprend que pour satisfaire la justice de Dieu, offensé par le péché. Dès lors, pour satisfaire la justice de Dieu il fallait que quelqu'un de pur s'offre pour laver la faute. Jésus-Christ est l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Personne d'autre que Jésus était assez pur pour être l''Agneau'' pur, sans défaut et sans tâche. Sa mort sur la croix est le sacrifice parfait pour expier les péchés du plus coupable d'entre nous-mêmes.
C 'est pour cela que phrase dite par les anges est UNE BONNE NOUVELLE pour tout le peuple, pour tous et pour chacun. POUR TOI et pour moi aussi. En acceptant cela, c 'est une Bonne Nouvelle qui doit réjouir tout le monde.
Si tu acceptes le cadeau de Dieu, ce sera pour toi le sujet d'une grande joie, Ce faisant, elle te sera donnée par Dieu.
Yvan DUSSART. L'Oncle Yvan de Tourne-Bride.
Ayez bon courage
Peu de temps avant de laisser sa vie sur la croix, le Seigneur Jésus a prévenu ses disciples: “Vous avez de la tribulation dans le monde”. La tribulation, c'est l'oppression, la souffrance. À toutes les époques, le chemin du chrétien a été difficile: incompréhension et opposition de la part d'un monde souvent hostile, épreuves permises par Dieu, tout cela a été le lot des croyants. Les temps que nous vivons actuellement y ajoutent un nouveau caractère: la Bible les appelle “des temps difficiles” (2 Timothée 3. 1). Des temps où la conduite des chrétiens se trouve presque toujours en opposition avec la pensée générale relayée par les médias.
Les encouragements, toujours nécessaires, le sont donc aujourd'hui plus que jamais. Après avoir averti ses disciples, le Seigneur a ajouté une parole de réconfort: “Mais ayez bon courage, moi j'ai vaincu le monde”. Celui qui a donné sa vie pour nous sauver est maintenant ressuscité, et il ne nous a pas laissés seuls, sans ressources. Nous avons sa Parole et le Saint Esprit pour nous consoler, nous encourager et nous édifier. Lisons la Parole de Dieu. Elle contient tout ce dont nous avons besoin en toutes circonstances et pour tous les temps.
À ceux qui n'auraient pas encore le privilège de la connaître, nous rappelons que la Parole de Dieu n'est pas réservée à quelques-uns seulement. Elle s'adresse à tous les hommes, car Dieu veut que tous viennent à la connaissance de son amour révélé en Jésus-Christ.
Ce texte est tiré du calendrier La Bonne Semence. Ce calendrier pour 2013 est arrivé. Sur votre demande, nous pouvons vous en offrir un exemplaire, contre votre engagement sur l'honneur de le lire chaque jour, Il faut savoir que l'édition de ces calendriers coûtent aux chrétiens qui vous les offrent. D'où nos précautions pour qu'ils servent à bon escient.Quel vêtement portez-vous aujourd'hui?
En se levant le matin, on peut se dire: “Qu'est-ce que je vais mettre aujourd'hui ?” On choisit ses habits et ses chaussures afin d'apparaître sous le meilleur jour possible. Mais ai-je pensé au vêtement que je porte devant Dieu? Adam et Ève s'étaient fabriqué des vêtements: “Ils cousirent ensemble des feuilles de figuier et s'en firent des ceintures” (Genèse 3. 7). Mais devant Dieu ils eurent peur et se cachèrent, réalisant qu'ils étaient nus, malgré leurs efforts.
Ne cherchons pas à nous confectionner nous-mêmes un vêtement qui convienne pour nous présenter devant Dieu. Ni notre travail, ni nos oeuvres, ni notre bonne conduite ne peuvent nous fournir un vêtement de justice qui nous permettrait de nous tenir devant Lui.
Mais par amour, Dieu veut nous fournir ce dont nous avons besoin, comme autrefois il a revêtu Adam et Ève. “Et l'Éternel Dieu fit à Adam et à sa femme des vêtements de peau, et les revêtit” (Genèse 3. 21). Ces vêtements avaient nécessité la mort d'une victime. La “robe de la justice”, dont nous parle le verset du jour, et qui nous donne la capacité de nous tenir devant Dieu, nous a été acquise par la mort de Jésus Christ sur la croix. “Celui qui n'a pas connu le péché, il l'a fait péché pour nous, afin que nous devenions justice de Dieu en lui” (2 Corinthiens 5. 21). C'est ce vêtement de justice que Dieu nous donne gratuitement lorsque nous acceptons par la foi ce que Jésus a fait pour nous.
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Oncle Yvan de Tourne-Bride. Sept.II 2012.
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Ce que l'oeil n'a pas vu, que l'oreille
Révélation
Qui ne s'est pas passionné un jour à la découverte de l'univers qui l'entoure? Certains parcourent la terre et la fouillent, sondent les océans, suivent dans l'espace le chemin des astres. D'autres se penchent sur le grain de poussière, y découvrent un monde. Ils cherchent dans la plante, chez l'animal, en eux-mêmes, le mystérieux secret de la vie. À mesure que ses efforts font reculer les bornes de son domaine exploré, chacun s'étonne des horizons que son regard entrevoit.
Si nous cherchons à sonder le monde où se joue notre destinée, malgré les extraordinaires résultats obtenus, l'énigme de notre propre existence ne nous est pas connue. Pouvons-nous en percer les secrets?
Le secours de Dieu nous est indispensable. L'homme ne peut avoir que le regard d'une créature sur le monde créé. Les intentions, le mode opératoire de son Créateur lui échappent, comme aussi les origines de l'univers. Mais sur le plan moral, n'y a-til pas un manque profond dans nos cœurs et nos consciences? Beaucoup soupirent après un apaisement qu'ils ne trouvent nulle part.
Dieu a parlé, il a révélé justement ce qui est inaccessible à l'homme. Toute vérité utile à connaître se trouve dans la Bible. S'il la lit avec foi, le croyant trouve la réponse heureuse aux redoutables questions qui hantent l'esprit humain, celles qui concernent la vie, la mort, le péché, le jugement, le salut, l'au-delà, Dieu lui-même
J'ai beaucoup souffert…
Dans la salle d'attente de la clinique, une patiente s'exclame: “J'ai beaucoup trop souffert dans la vie! J'irai au paradis!”. Elle raconte en détail par où elle est passée: les nombreuses interventions chirurgicales, les thérapies longues et douloureuses, la solitude, le découragement. Certes, sa vie n'a pas été facile. Mais imaginez un instant un tribunal; l'accusé a commis un vol. Le juge, avec bonté, gracie le coupable en lui disant: “Ah! Monsieur, vous avez tellement souffert dans votre vie! Même si vous avez commis ce vol, je vous acquitte. Vous êtes libre!”
C'est donc cela, la justice? Non, bien sûr, cela vous mettrait sûrement en colère de voir celui qui vous a volé, libéré sous un tel prétexte!
Dieu n'est pas un juge injuste. Au contraire, il est bien trop juste pour tolérer les fautes qu'il voit en moi, et en chacun de nous. C'est justement à cause de sa justice que nous ne pouvons pas le rejoindre au ciel pour l'éternité. Mais alors, comment faire pour avoir ce privilège? La Bible est claire: pour aller au paradis, il y a une condition: être rendu juste devant Dieu.
Est-ce possible? Oui, si j'accepte que Jésus Christ a porté le châtiment que méritaient mes fautes. Alors, devant Dieu, je suis juste. Ma dette a été payée, il n'en sera plus jamais question, elle est effacée. Dieu est juste, et il doit, pour ainsi dire, au Seigneur Jésus qui a expié nos péchés, de nous recevoir comme ses enfants bien-aimés.
J'ai peur pour ceux qui ne croient pas
Clayton était un jeune atteint de leucémie. À la quatrième récidive de la maladie, le médecin a dû lui dire: “Clayton,… il te reste peut-être trois mois à vivre”. Alors âgé de 18 ans, il consacre ses dernières forces à parler de sa foi et à avertir de nombreux jeunes. Il déclare: “Je sais quand je vais mourir. Mais vous non. Et vous vous laissez distraire par les choses de la vie qui vous empêchent de penser à ce qui est réellement important”.
En revanche, j'ai peur pour vous. J'ai peur pour chacun de ceux qui ne savent pas où ils iront après la mort. J'ai peur pour ceux qui croient savoir où ils iront après la mort, mais n'en sont pas sûrs. Et j'ai surtout peur pour ceux qui sont distraits par ce monde, distraits par l'école, le travail, le sport, les copains, les loisirs… C'est de cela que j'ai vraiment peur pour vous.”
Clayton a réalisé une vidéo à l'aide de ses amis. Après l'avoir terminée, il l'a visionnée le soir et a déclaré: “Oui, c'est exactement ce que je voulais dire avant de mourir”. Le lendemain, il est parti auprès de son Seigneur, ayant achevé le service que le Seigneur Jésus lui avait confié: être son témoin.
Tiré du calendrier La Bonne Semense.Les petits avec les grands
Dans la société égoïste où nous vivons, les grands méprisent souvent les petits, et les petits jalousent parfois les grands. Dieu, lui, ne méprise personne. À tous il ouvre les trésors de son amour. Personne n'est écarté. Il voudrait sauver tous les hommes. Il veut bénir tous ceux qui mettent leur confiance en lui.
Admirons Jésus dans son dévouement infatigable. Rien ne le rebute; si bas que quelqu'un soit tombé dans la déchéance physique ou morale, Jésus s'approche pour guérir, pour sauver, pour délivrer. Une femme adultère condamnée par la loi (Jean 8), des malheureux, des aveugles, des lépreux, des infirmes, tous trouvent accès auprès du Sauveur. Même un des deux brigands crucifiés à côté de Jésus entendra le Seigneur lui répondre: “Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis”.
Reconnaissons l'amour de Dieu dans toute sa largeur; il est pour les pauvres et les riches, pour les grands et les petits. Il se déploie sur tous ceux qui le reçoivent dans leur vie, ceux qui désirent l'aimer, le servir. Ceux-là, Dieu les bénira. Des notables comme Nicodème, le riche Joseph d'Arimathée, deviendront ses disciples (Matthieu 27. 57). Il choisira Saul de Tarse, un érudit, pour en faire l'apôtre Paul (Actes 26. 24), “des hommes sans instruction et du commun” (Actes 4. 13), comme Pierre et Jean. Seule la foi nous met en relation avec Dieu. Elle l'honore.
Vivons près de Dieu et nous apprendrons aussi à aimer comme lui les petits et les grands.
Tiré du calendrier La Bonne Semense."Ne vous y trompez pas: les mauvaises compagnies corrompent les bonnes moeurs. Ressaisissez-vous pour vivre dans la justice, et ne péchez pas."
1 Corinthiens 15. 33, 34
"Daniel arrêta dans son cœur qu'il ne se souillerait pas.
Daniel 1. 8
Eau polluée
En bas du pré coule une rivière. Quel plaisir ce doit être, en été, de s'y baigner! Pourtant, approchez-vous et vous n'en aurez plus aucune envie. La couleur de l'eau, d'un jaune sale, semble dégoûter même les poissons. Ce phénomène s'explique: quelques kilomètres en amont, le ruisseau traverse une couche d'argile et de boue qui colore son eau et lui fait perdre sa transparence, sa pureté. Il est très dangereux de boire une eau polluée. Dans le monde, aujourd'hui encore, des milliers de personnes, surtout des enfants, meurent d'avoir bu de l'eau polluée, non potable, sale, portant les germes de maladies très graves et mortelles.
Cette rivière illustre bien ce que sont les chrétiens si, au cours de leur vie, ils se laissent polluer par des compagnies douteuses, se laissent salir par des spectacles malsains et répugnants, des lectures ou des images qui impriment dans l'esprit des traces négatives durables, parfois indélébiles et toxiques.
Tenons-nous le plus possible à l'écart de ce poison moral: ce n'est pas seulement notre propre âme que nous préserverons. Comme chrétiens, n'oublions pas que nous sommes des canaux par lesquels l'eau qui apporte la vie de Dieu doit pouvoir être communiquée. Or à quoi peut servir une eau polluée? Avec la moindre impureté elle cesse d'être potable; boueuse, elle salit au lieu de nettoyer. Ainsi ceux qui nous côtoient n'éprouvent aucun désir de partager notre foi…
Montrons-leur au contraire tout ce que nous apporte le Seigneur Jésus, en vivant une vie qui ressemble à la sienne: il est, lui, la source de l'eau vive (Jean 7. 38). C'est de son eau dont nous devons nous abreuver, nous rafraîchir, nous laver en cas de nécessité. Ne l'oublions jamais.
L'exemple de Daniel est là pour nous rappeler la nécessité impérieuse de se tenir à l'écart de tout ce qui pollue, nous salit et fait de nous, à notre tour, des pollueurs dangereux. Ce sont nos fautes tolérées qui nous salissent à notre tour et salissent ceux qui nous côtoient. C'est le roi David qui nous donne le moyens d'être pur. Lisons son texte dans la Bible, dans le psaume 51 v.1 à 14. Et suivons son exemple.
Une merveilleuse promesse est donnée à ceux qui veulent être et rester pur : « Si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nos les pardonner et nous purifier de tout ce qui n'est pas juste en nous (I Jean 1:9)
D'après un texte non signé et publié dans le calendrier La Bonne Semence, un texte arrangé et augmenté, par
Yvan Dussart - Oncle Yvan de Tourne-Bride
2 Pierre 2. 19
"Christ nous a placés dans la liberté en nous affranchissant; demeurez donc fermes, et ne soyez pas retenus de nouveau sous un joug de servitude."
Galates 5. 1
Libre ou esclave?
Fénelon, écrivain français de la fin du 17e siècle, a écrit: “Dieu fit la liberté; l'homme a fait l'esclavage”. Cette pensée est exacte, en particulier si l'on pense à la désobéissance d'Adam et Ève au jardin d'Éden. Succombant à la tentation du satan, l'être humain est tombé dans l'esclavage du péché (Genèse 3. 1-6). Depuis, le péché constitue le pire esclavage dans la vie de l'homme. Que de faits et gestes, de désirs égoïstes et trompeurs, dictés par les pensées des cœurs esclaves du péché! La Bible mentionne beaucoup de causes d'esclavage: argent, orgueil, vanité, sexe, alcool, drogues diverses et autres idoles qui gouvernent nos vies.
Seul Jésus Christ, tenté lui aussi par le diable, a démontré son absolue perfection, en le repoussant par la parole de Dieu (Luc 4. 2-13). Les évangiles témoignent que Lui, seul homme parfait, a soulagé de la souffrance tant de captifs du péché. Mais pour que ceux-ci soient délivrés définitivement de leur asservissement au péché, il a fallu son sacrifice sur la croix. C'est ce que la Bible appelle la rédemption, le rachat. Autrefois, lorsqu'on rachetait un esclave, il était possible de le rendre libre, de l'affranchir. Il en est ainsi pour nous, qui sommes par nature asservis au péché. Nous pouvons être libérés par Jésus, le Sauveur. Le chrétien est celui qui a été libéré, il n'appartient plus au diable mais à Jésus Christ, le Fils de Dieu qui a payé par son sang le prix du rachat. La Parole de Dieu affirme: “Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres” (Jean 8:34)
De nos jours on, parle beaucoup de la drogue, des drogues, sans cesse utilisées par des gens troublés intérieurement qui par cet usage veulent prendre de la distance avec leur vécu qui les agresse et les traumatise. Erreur !! Ce n'est pas la solution. Loin de là.
Ce qui fait mal doit être confié à Dieu par la prière, dite au nom de Jésus. C'est une forme d'incrédulité que de se droguer en prenant de la drogue quelqu'elle soit. C'est suivre les conseils du diable, maudit soit-il, ou des hommes pervers et mauvais. Au contraire, notre addiction doit être confessée à Dieu et abandonnée au nom de Jésus. Lui seul donne la force à l'esclave de prendre de la distance avec ces produits néfastes et très dangereux.
Cela peut paraître d'une simplicité enfantine, trop simple pour être vraie. Pourtant, de nombreuses personnes, autrefois esclaves de l'alcool, du tabac ou de drogues plus dures, vivent et témoignent de la délivrance obtenue grâce au sacrifice de Jésus.
Ceux qui souffrent de ce problème et souhaitent être guidés sur le chemin de la délivrance au nom de Jésus doivent nous appeler et nous les mettront en contact avec Natacha et Frédéric qui s'occupent patiemment de ceux qui ne s'en sortent pas tout seul. Tante Nadine (0496 181414) donnera les renseignements et les moyens d'entrer en relation avec Natacha et Frédéric. Mais ne restez pas seul. A plusieurs on est plus forts pour trouver le chemin de la victoire et de la liberté.
Oncle Yvan de Tourne-Bride, d'après un texte non signé, trouvé sur le calendrier biblique La Bonne Semence.
Le 1er mai 2012.
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Où est ton Dieu ? Qui pose aujourd'hui une telle question? Peut-être un garçon qui se moque d'un jeune chrétien ou le maltraite, peut-être un détenu partageant la même cellule qu'un croyant incarcéré pour sa foi… Quelle souffrance pour celui qui est ainsi persécuté sans cause, tout le jour. Quel brisement intérieur! Faut-il répondre? se taire? Le Seigneur seul guide le croyant dans l'adversité en lui donnant “à l'heure même ce qu'il faudra dire” (Luc 12. 12)
Où est mon Dieu? Tout près de moi quand je supporte l'hostilité, l'injustice, la haine… L'attaque n'est pas dirigée contre le croyant, mais contre Dieu lui-même. S'il tient ferme dans sa foi, s'il ne cède pas sous la pression, celui qui est persécuté montre que Dieu est vivant et soutient ses enfants. Avec ou sans paroles, l'évangile est annoncé dans le lieu même où aucun chrétien ne serait allé de lui-même.
L'exemple de Jésus. Jésus a subi toutes sortes d'affronts. Ceux qui le frappaient lui couvraient les yeux en disant: “Prophétise; qui est celui qui t'a frappé?” (Luc 22. 64). D'autres: “Si tu es Fils de Dieu, descends de la croix” (Matthieu 27. 40). Mais le Seigneur est resté ferme, il a accompli sa mission, il a enduré la crucifixion. Là, il a porté nos péchés, il a glorifié Dieu. Maintenant il est dans le ciel, où aucun mal ne pénètre. Il intercède pour ceux qui le suivent, qui l'ont pour modèle; il prie pour ceux qui sentent leurs forces fléchir.
Humblement, en retour, notre prière monte vers Dieu: “Je sais que tu peux me délivrer, ou me laisser dans l'épreuve, mais aide-moi à ne pas te renier”.
La fidélité à Jésus peut se payer fort chère mais la récompense est glorieuse dans la même mesure.
L'évangile: une promesse! (2)
Quand Jésus Christ est venu sur la terre, il n'a pas fait que révéler la noirceur du péché. Il a apporté cette bonne nouvelle (c'est le sens exact du mot grec “évangile”) que Dieu aime les hommes malgré tout, et qu'il veut leur donner “un avenir et une espérance”(Jérémie 29. 11).
Y a-til une promesse plus belle que celle de Jésus au brigand repentant: “Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis” (Luc 23. 43)? Voilà l'évangile de Dieu: le paradis avec Jésus, cette offre faite à tous! Au nom de Jésus Christ, nous supplions chaque lecteur qui ne l'a pas encore fait, de réfléchir sérieusement au message divin et d'accepter le salut offert gratuitement.
Ce texte est tiré du feuillet d'aujourd'hui du calendrier La Bonne Semence.
Il nous reste quelques calendriers LBS à offrir à qui nous le demande. Le demander à Tante Nadine, Tél 0496 181414.
Pourquoi la lumière est-elle donnée au misérable, et la vie à ceux qui ont l'amertume dans l'âme?
Job 3. 20
Tu as été au misérable un lieu fort,… un abri contre l'orage.
Ésaïe 25. 4
Pourquoi la lumière est-elle donnée au misérable?
« Les questions de la Bible
Pourquoi la souffrance? Pourquoi atteint-elle les enfants? Laissez-moi vous raconter un souvenir.
Ce week-end là, je m'occupais de Sylvain, un enfant lourdement handicapé. La journée avait été difficile. Sylvain respirait péniblement. Le soir, une jeune infirmière est venue lui faire les soins. C'était éprouvant pour Sylvain…, pour elle aussi. En partant, elle a murmuré: “La vie vaut-elle tant de souffrances?”. J'étais sans réponse. Mais connaissant le beau sourire de Sylvain, j'ai répondu doucement: “C'est à lui qu'il faudrait le demander”. L'infirmière, après ses soins, a continué son chemin, et moi je suis resté pensif à côté de mon jeune ami.
Sylvain nous avait déjà tant apporté. Tous ceux qui s'occupaient de lui étaient comme poussés à l'aimer. C'était un centre d'affection. Avec lui, nous devions laisser tomber notre égoïsme, autant que nos questions intellectuelles. Il fallait vivre, lutter avec énergie, souvent dans l'inquiétude mais toujours avec la chaleur de l'affection. Et puis nous chantions des cantiques. Il regardait alors vers le ciel et témoignait ainsi de son espérance. Et nous nous courbions devant la volonté souveraine de notre Dieu.
La vie vaut-elle tant de souffrances? Je le pense, car malgré la souffrance et le côté révoltant du mal, j'ai appris à connaître le Dieu d'amour et d'espérance. Dans ses compassions il m'a donné de recevoir “l'amour du Christ qui surpasse toute connaissance” (Éphésiens 3. 19). »
Ce texte, je l'ai trouvé sur le billet du calendrier La Bonne Semence de ce jour : 01/03/2012. Il pose bien des questions difficiles à solutionner. Ce texte me touche de près et très fort. Je suis aussi un handicapé par les séquelles pénibles de la poliomyélite contractée alors que j'avais juste un an. La poliomyélite qui touche surtout les enfants a fait des ravages terribles dans le temps passé. Un grand nombre de malades en sont morts. Aujourd'hui, malgré un vaccin efficace, la maladie n'est pas éradiquée complètement. Les décès ne sont pas rares.
Pendant toute ma vie, et encore aujourd'hui, (l'âge en rajoute !) j'ai eu à me coltiner avec les handicapes et incoordinations motrices bien gênantes, pénibles et douloureuses. Celles-ci entraînent et suscitent parfois, mais trop souvent encore, les moqueries et sarcasmes des idiots qui ne comprennent rien à la situation. Combien de fois n'ai-je pas demandé à Dieu la guérison de ces séquelles. Dieu n'a pas répondu à mes demandes et supplications. Pourquoi ??? Je crois pourtant à sa toute puissance qui s'est manifestée mainte fois en délivrance en ma faveur.
N'est-ce pas un angélisme de mauvais aloi que de croire et de dire autour de soi que Dieu sait bien ce qu'Il fait en permettant la souffrance, en restant sourd aux appels des malheureux qui souffrent, ... ? Facile à dire mais fort pénible à vivre.
La connaissant de près, et très fort parfois, je dis que la souffrance physique et morale ont été, et restent de tout temps un problème bien difficile à aborder, et à traiter. La souffrance est destructice et aliénante. Elle n'est jamais rédemptrice. Elle fait partie du cortège misérable des misères et tristesses bien présentes dans le monde des humains. En présence de la souffrance, comme de la mort, d'ailleurs, le mieux est de mettre le doigt sur la bouche et ne rien dire. Toute parole dite «parce qu'il faut dire quelque chose» risque fort d'être une parole malheureuse qui fera plus de tort que de bien. ''Ne rien dire vaut mieux que de mal parler''. Dicton bien à propos pour le sujet de ce jour.
Oncle Yvan de Tourne-Bride. - Yvan Dussart.
Ps. Si vous voulez parler de ce sujet avec Oncle Yvan, vous lui adressez votre Email:
yvan.dussart@hotmail.com.
« Renoncez au mensonge et que chacun de vous parle selon la vérité à son prochain ».
Éphésiens 5:25.
« Que ton oui soit oui et ton non soit non. Tout ce qu'on y ajoute vient du malin ».
Matthieu 5:37.
Voilà bien des paroles bibliques qui sont souvent oubliées et négligées de nos jours. Le mensonge est très courant et répandu dans toutes les sphères de notre société qu'il arrive à chacun de rencontrer des gens de qui on dit:''il ment comme il respire''.
Ainsi, certaines personnes en ont tellement racontés qu'elles baignent jusqu'au cou dans la fausseté et la duplicité à tel point que personne ne peut plus s'y retrouver pour rédiger une déclaration officielle, par exemple.
Disons aussi que celui qui ment doit avoir une excellente mémoire. Les menteurs sont souvent démasqués par les erreurs et contradictions présentes dans leurs déclarations. Tel ce demandeur d'asile à qui les enquêteurs lui ont découvert deux mères différentes !!
Quand on s'habitue au mensonge, on finit par y croire et perdre ainsi ses points de repères. Or, croire ses propres mensonges, c'est la voie ouverte à la confusion mentale, au désordre généralisé et à la folie.
Il y a de gros et de petits mensonges. Mais quoiqu'il en soit, le mensonge pollue toujours la vérité, plus ou moins, selon l'importance de la trahison.
Celui qui ment travesti toujours la réalité en une espèce de fumée ou une vapeur qui embue la vision de la chose. Ces deux termes : fumée et vapeur sont employés dans la Bible et sont traduits par ''vanité''. Ainsi, la vérité polluée par le menteur devient une ''illusion'', une ''irréalité''. La parole du menteur ne sert à rien puisqu'on ne peut pas s'y fier, s'en servir. C 'est donc la vanité dans le plein sens du mot.
Le menteur, par sa pratique, éloigne ses vis-à-vis et les rejette en croyant à leur propre folie. Il va développer un ''sur moi'' caractéristique bien connu des psy. Il va s'isoler en se fiant uniquement à ses observations et à ses analyses. Sa solitude et son orgueil personnel vont se développer au point de l'enserrer comme une proie prise au piège. A ce moment de son évolution le menteur croit qu'il sait tout et toujours et que ce sont les autres qui se trompent ou sont devenus fous.
Compte tenu de ce qui précède, on comprend plus facilement pourquoi la Bible demande à ses lecteurs de fuir le mensonge et de s'attacher à la vérité, tout simplement.
Le diable, hâ satan de la Bible, est appelé par Jésus le père du mensonge.(Jean 8:44) Les menteurs de cette terre sont ses fils et c'est près de lui que seront rassemblés tous les menteurs (Apocalypse 21:8) et autres gens corrompus dont il ne faut pas rechercher la compagnie.
Un jour viendra où notre pauvre terre corrompue par le péché sera purifiée. Tout sera différent. En attendant, il faut se garder du mensonge sous toutes ses formes et se tenir toujours et résolument sur le terrain de la vérité. Ce lieu est un endroit solide.
L'Oncle Yvan de Tourne-Bride. Yvan Dussart.
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Le 10 février 2012.
L'Éternel dit à Caïn: Où est Abel, ton frère? Et Caïn dit: Je ne sais pas. Suis-je, moi, le gardien de mon frère? Et Dieu dit : qu'as-tu fait ? La voix de ton frère crie de la terre à moi.
Genèse 4. 9, 10
Si nous confessons nos péchés, [Dieu] est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité.
1 Jean 1. 9
Qu'as-tu fait?
Les questions de la Bible
Premier crime: “Caïn se leva contre Abel, son frère, et le tua” (Genèse 4. 8). Pas de témoin. Le meurtrier ne risque rien! Mais Dieu l'arrête: “Où est Abel, ton frère?
– Suis-je, moi, le gardien de mon frère? répond Caïn avec insolence.
– Qu'as-tu fait ? La voix du sang de ton frère crie de la terre à moi!»
La violence restera-t-elle sans que justice soit faite? Du côté de l'homme, peut-être, mais pas pour Dieu qui connaît tout: la voix du sang d'Abel crie en témoignage vers Dieu, et appelle la justice.
«Qu'as-tu fait?» Cette question peut s'adresser à chacun de nous, d'une génération à l'autre, jusqu'à moi… Quel triste tableau que l'histoire de l'humanité qui s'éloigne de Dieu! Que de cris, d'injustices, de larmes… Et Dieu voit tout et jugera tout (Genèse 6. 5, 7). Or le péché conduit au jugement, à l'éloignement éternel d'avec Dieu. Est-ce sans espoir? Non, la Bible parle d'un autre sang que celui d'Abel, d'un sang qui ne parle pas de jugement mais de pardon. C'est celui de Jésus Christ (Hébreux 12. 24).
Le Croyant, lecteur de la Bible, sait que Jésus, quand il était à la croix, pendu entre ciel et terre, a subi à sa place le jugement de Dieu sur ses péchés. L'ayant accepté, il a devant lui, pour toujours, l'assurance d'être, un jour, avec lui dans le ciel, dans la présence de Dieu.
Il est donc déraisonnable de garder le péché sur soi. Celui-ci met une séparation entre Dieu et l'homme. (Ésaïe 59 : 2) Il faut immédiatement le confesser à Dieu et croire que la mort de Jésus-Christ sur la croix est pleinement suffisante pour satisfaire la justice de Dieu qui condamne le pécheur impénitent. Mais Dieu, dans son grand amour pour nous nous invite encore aujourd'hui à venir à Lui pour recevoir son parfait pardon .
Oncle Yvan de Tourne-Bride - Yvan Dussart.« On jette le sort dans le pan de la robe, mais toute décision vient de l'Éternel »
Proverbes 16:33.
Jeter le sort.
Quand l’israélite avait un choix difficile à faire, il pouvait avoir recours au sort. Comment les choses se passaient-elles ? Il allait au temple consulter le grand prêtre. Après un partage sur la nature du problème, le prêtre et le consultant se mettaient d'accord sur la question à poser. Ensuite, le prêtre allait, de sa main, dans la poche intérieure de son vêtement et en sortait une plaquette qui disait oui, pour l'une, ou non pour l'autre. C'était clair: oui ou non. Il n'y avait rien à ajouter ni à retirer. Cf. Exode 28 : 15-30, 39 : 8-21.
Est-ce à cette pratique que fait allusion la parole dite par Jésus dans Matthieu 5 :37 : « Que votre parole soit oui, oui , non, non, ce qu'on y ajoute vient du malin » ? De nos jours les réponses que l'on reçoit au questions posées sont rarement aussi précises. Souvent, les réponses sont embrouillées, vagues, imprécises. elles « tournent autour du pot » comme on le dit souvent. C'est une faute car ce genre de réponses induisent en erreur, ce qui équivaut à du mensonge.
Aujourd'hui, mettre en pratique cette parole de Jésus, à la fois simple et précise, n'est pas chose facile. Oui et non sont des réponses lapidaires qui ne tiennent pas toujours compte des tenants et aboutissants de la question. Il y a de nombreuses questions qui demandent des réponses nuancées, relatives, qui demandent de tenir compte des implications et des conséquences éventuelles des réponses trop carrées ou trop brutales. Ceci est dû à la complexité de la vie de nos jours.
Il est vrai que la foi en l'évangile demande des paroles vraies, franches, le moins possible embigües ou à double sens. Il faut que les relations que nous avons avec autrui, et à plus forte raison avec nos frères et sœurs dans la foi, soient aussi vraies que possible. Ne serait-ce pas cela que la parole de Jésus-Christ dans le Sermon sur la Montagne veut nous rappeler ? Rien de tel que le mensonge et la fausseté pour mettre à mal les relations les plus sympathiques et si belles soient-elles entre des personnes qui au départ avaient de bonnes relations et s'aimaient réellement.
Il faut que chacun veille à toujours se tenir sur le terrain de la vérité, partout et toujours : dans la famille et dans le couple, entre parents et enfants et entre amis en général. Le diable, « le père du mensonge », sait y faire pour détruire la confiance dans les relations fraternelles. Et s'il arrive que des accrocs se produisent, ne laissons pas passer le temps pour demander pardon et réparer la brèche. La communion et la bonne entente sont à ce prix. Elles sont d'ailleurs un bien précieux et une force précieuse pour vaincre les difficultés de la vie sur cette terre où le péché et son cortège de misère se rencontrent souvent à tous les coins de rue.
Si nous sommes indécis pour choisir la réponse à donner à un problème difficile, nous n 'avons plus recours aux plaquettes du Grand Prêtre. Mais l'étude de la Bible et la prière à Dieu peuvent donner une réponse. L'esprit de Dieu peut nous guider vers la meilleure solution. On peut aussi s'en ouvrir à un chrétien plus âgé et plus instruit dans les choses de Dieu. Il faut donc se garder des choix faits '' à la va vite' ou sous le coup de l'émotion, ou des envies personnelles, ... Celles-ci peuvent avoir des conséquences funestes et désastreuses pour le reste de la vie. Attention donc.
Oncle Yvan de Tourne-Bride. 1-10 février 2012.
Lecture proposée. 1 Samuel 1 : 9-20.
« Isaac implora l'Éternel au sujet de sa femme, car elle était stérile. L’Éternel exauça sa prière et Rebecca sa femme devint enceinte. Des jumeaux se heurtaient dans son ventre »...
Genèse 25:21,
Une autre version dit ceci : Isaac pria instamment l'Éternel ... et l'Éternel se rendit à ses prières''. On le dit souvent, mais répétons-le une fois de plus, aucun domaine, si intime soit-il, échappe à l'intervention toute puissante de notre Dieu. Pour les problèmes de stérilité, d'impuissance, de frigidité, … qui se multiplient de nos jours de manière inquiétante et sans que les médecins et chercheurs scientifiques sachent bien comment y faire face. Le stress, l'obésité, les stupéfiants, le tabac, l'alcool, ... sont pointés du doigt.
Le médecin et le spécialiste dans ce genre de problème peuvent certainement être consultés. Il leur arrive, de nos jours, de faire de véritables miracles. Mais pas toujours. La Bible nous raconte l'histoire d'Isaac et Rebecca et, plus tard, celle d'Elkana et d'Anne, la maman de Samuel, qui mariés depuis longtemps n'avaient pas d'enfant. A l'époque, plus que maintenant, la stérilité du couple était mal vue par la société et les gens du village. En plus, ne pas avoir d'enfant hypothéquait gravement les vieux jours de ces personnes. Devant ces drames personnels, la médecine de l'époque était bien impuissante. Aujourd'hui, ces problèmes sont de plus en plus fréquents. Des couples les vivent très mal.
La prière à Dieu était la seule thérapeutique possible. Ici, la prière insistante de la foi fit que Dieu se rendit à leurs supplications et fit naître les enfants désirés.
Pourquoi ne pas accompagner de nos prières ferventes à Dieu les médecins qui nous soignent ? Nous leur confions nos problèmes de santé. C'est bien, à notre tour, confions-les à notre Dieu, le divin médecin, afin que Dieu conduise nos médecins et les guide dans leurs recherches, leur diagnostic et dans le choix des médicaments prescrits.
Je me souviens bien d'un couple, marié depuis 10 ans, qui n'avait pas encore d'enfant. C'était pour eux un gros problème qu'ils vivaient de plus en plus mal au fur et à mesure que le temps passait. Conseillés par leurs parents, ils s'en ouvrirent à leur pasteur. Celui-ci leur fit lire l'histoire d'Isaac et de Rebecca dans Genèse 25 et celle d'Anne et d'Elkana dans 1 Samuel 1 à 3 et de suivre leur exemple. Ce couple pieux s'attela à la prière fidèle et insistante. Quelques temps plus tard, la dame se trouva enceinte. A terme, elle mit au monde un beau garçon qu'ils appelèrent : Désiré, -Aimé, -Dieudonné. Trois noms chargés de sens en remerciements et hommages à Dieu qui répond aux prières des Siens.
Ceci s'est passé, il y a une soixantaine d'années. Tout ceci pour dire et affirmer une fois de plus que Dieu ne change pas. Aujourd'hui encore, quelques soient nos problèmes, nous pouvons les apporter à Dieu en lui demandant d'y apporter une réponse, Sa réponse. Il le fera, d'une manière ou d'une autre. Soyons en sûrs.
L'Oncle Yvan de Tourne-Bride – Yvan Dussart – du 10 au 20 janvier 2012.
« Il vous est né UN SAUVEUR qui est le Christ le Seigneur... »
C'est ainsi que la naissance de Jésus fut annoncée aux bergers fort surpris. Un Sauveur ? C'est donc que nous sommes perdus, en danger de mort ? OUI et de mort éternelle ! A cause du péché qui met une séparation infranchissable entre Dieu et nous, du moins pour l'homme irrégénéré et étranger à la Bonne Nouvelle de l'Évangile de Jésus-Christ.
Un Noël sans Jésus-Christ, c'est un non-sens. Une erreur. Une bêtise. Il faut le dire et le répéter, fêter Noël sans adorer Jésus, c 'est être perdu dans ses fautes et ses péchés. C'est être voué à être rejeté par Dieu qui ne laissera entrer dans son paradis que ceux qui ont Jésus comme Sauveur personnel. C'est pour cette raison qu'il est impératif, dès maintenant, d'être certain de posséder la vie éternelle reçue de Dieu le jour où nous avons fait alliance avec Lui en acceptant Jésus comme notre Sauveur personnel.
Les anges de Noël auraient pu dire : il vous est né un REDEMPTEUR puissant et riche. REDEMPTEUR et SAUVEUR sont des synonymes. REDEMPTEUR nous fait penser à cet homme très riche qui, sur la place du village, voit des hommes et des femmes enchaînés prêts à être vendus comme esclaves. Il en achète autant qu'il peut pour les rendre immédiatement à la liberté. C'est ce que Jésus a fait, mais c'est avec son propre sang, sa vie livrée, qu'il rachète le pécheur repentant de la mort éternelle qui le menace.( Cf. Éphésiens Ch.1 v.7. ) Le poète Adam qui a composé le chant de Noël bien connu : « Minuit Chrétien » parle de ''la naissance du Rédempteur qui fait tressaillir le mon d'espérance''. Le monde sans Dieu d'aujourd'hui a un immense besoin d'espérance. La vraie espérance que Jésus offre ne déçoit jamais. Le chrétien d'aujourd'hui se doit de proclamer de toutes ses forces cette bonne nouvelle du salut en Jésus-Christ et l'espérance qu'il offre à ceux qui acceptent ce cadeau gratuit. (Cf. Jean 1 :12-13) Dieu attend des chrétiens qu'ils ne se dérobent pas à cette mission.
Les anges de Noël auraient pu dire aussi : il vous est né un LIBÉRATEUR puissant et très fort. Ce mot LIBÉRATEUR fait penser aux soldats courageux venus pour libérer le pays de l'occupant pour lui redonner la liberté et le plein exercice de son autonomie et de sa souveraineté. Jésus, par son œuvre de salut, libère l'humanité de l'occupation éhontée et souvent cruelle de l'ennemi et des fauteurs de torts d'où qu'ils viennent. (Cf. Luc 1 : 71) Comme autrefois, la mer de Galilée déchaînée par la tempête s'est calmée au son de sa voix, Jésus d'une parole d'autorité fait tomber toutes les chaînes de nos esclavages et ouvre toutes des portes fermées et cadenassées de nos passions indomptables et irrépressibles et celles de nos addictions de toutes sortes. Jésus est le LIBÉRATEUR qu'il nous fallait.
Que ce temps de Noël 2011 soit pour chaque lecteur de « Enquiers-toi...» l'occasion bénie de se replonger dans la joie de Noël, bain de jouvence, propre à redonner à tous les forces nouvelles pour continuer à assumer avec courage et détermination la mission de témoignage pour Jésus qui nous a été confiée.
JOYEUX NOËL à tous les campeurs et visiteurs de Tourne-Bride, dans la joie de Jésus qui est vivant pour toujours.
Yvan Dussart – Oncle Yvan de Tourne-Bride – du 20 au 31 déc. 2011.
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L’Esprit vient nous aider dans notre faiblesse. En effet, nous ne savons pas prier comme il faut mais l'Esprit lui-même intercède en gémissant d'une manière inexprimable ».
Romains 8:26.
Prier, c'est entrer dans le plan de Dieu.
Il peut arriver que sous la pression des événements, de leur dangerosité, des angoisses qu'ils suscitent, ... nos prières soient des requêtes vengeresses, en désaccords avec l'enseignement de la Parole de Dieu ou encore indignes du chrétien que nous croyons être. Si le Seigneur les exauçait, ce serait une catastrophe aux effets collatéraux incalculables. N'est-il pas préférable que Dieu reste sourd à nos appels stupides et charnels, finalement. ?
Dieu, en nous donnant le Saint-Esprit, nous a gratifié d'un ''assistant'' hors pair. Son action est diverse, multiple et continuelle. Il juge, filtre et retient ce que Dieu ne peut pas accepter. Nos prières, ainsi purifiées de toutes les scories indignes, peuvent monter jusqu'à Dieu et être devant Lui comme un parfum agréable. En considérant ce sujet important, nous réalisons que mille fois le ciel aurait dû nous tomber sur la tête pour nous corriger de toutes nos stupidités spirituelles. Il n'en a rien été. Merci, Seigneur. Toutefois, que le texte merveilleux d'aujourd'hui nous conduise à plus de sérieux et de prudence dans l'exercice de la prière et surtout de l'intercession (pour les autres) et de la requête (pour soi).
Yvan Dussart.
Pour la périolde du 11 au 20 décembre.
C'est le temps de Noël qui nous est revenu. Il est accompagné des dimanches de l'Avent au nombre de quatre. Le premier dimanche était le 27 novembre dernier
Ici à Tourne-Bride, nous fêtons ces dimanches en méditant des thèmes, nouveaux, choisis chaque année. Ces thèmes sont marqués par 4 bougies qui sont allumées sur la « couronne » de Noël. Ces bougies portent des noms. Pour TOURNE-BRIDE, les voici :
La Bible.- La méditer. - La comprendre. - La mettre en pratique.
La Bible. Elle est la parole de Dieu. Le message qu'il adresse à tout être humain qui vit sur terre parce que Dieu, le Créateur, l'a voulu et le veut tant qu'Il lui maintient le souffle et la vie. Il faut donc que chacun la lise attentivement pour lui-même. Cette Parole, quand elle est reçue dans un cœur honnête, lui donne la VIE éternelle.
La méditer. Quand on lit un texte biblique il faut toujours se poser des questions à son sujet. « Qu'est ce que Dieu veut m'apprendre par ce texte ? De qui est-il question ? Ai-je déjà lu des versets qui vont dans le même sens ? Y a-t-il une promesse pour moi aujourd'hui ? Une mise en garde contre un danger ? Une faute à ne pas commettre ? En bref, il faut questionner le texte, le faire parler et trouver les réponses dans ce que la Bible nous a déjà appris.
La comprendre. Si la Bible vient de Dieu, forcément de plus haut et de plus loin de nous, elle ne dit toutefois pas des choses extravagantes, hors de raison et dangereuses pour le lecteur. Elle ne nous dit que des choses raisonnables, qui sont à notre portée et pour notre bien. Jamais, elle ne nous poussera à nous faire mal, à faire du tort à notre prochain, à être méchant et à dire de vilaines choses sur les autres. Elle ne nous dira pas de nous venger du tort reçu mais de pardonner, ...
La mettre en pratique. En de nombreux endroits la Bible exhorte ses lecteurs à la mettre pratique dans les choses de la vie de tous les jours. Avec modération, discrétion, et sincèrement, il faut traduire en actes et en paroles ce que la Bible nous a révélé. Ainsi, être le prolongement de Dieu parmi les gens avec qui nous vivons. Ceci est le signe que nous sommes véritablement de Dieu. Le Seigneur a besoin de nous comme témoins de Lui et de son amour pour chacun.
Par une approche sincère et nouvelle de la Bible, nous pouvons mieux nous préparer à vivre Noël comme il se doit. La joie de Noël viendra en nous et donnera un sens nouveau à notre vie. Nous ne le regretterons pas. C'est certain.
C'est fort de ce que je viens de vous écrire que je vous souhaite un très bon temps de Noël.
Oncle Yvan de Tourne-Bride. - Yvan Dussart
Du 1 au 10 Décembre 2011.CONNAISSANCE !
Chaque jour la Science scrute tous les Univers…
Toujours la Science bute contre un étrange mur :
L’origine première ?
Aucune autre issue qu’un agent externe !
Il y a quelque chose, oui, diront certains…
Mais si ce quelque chose s’avérait
Quelqu’un, maître de notre destin ?…
Y a intérêt à le rencontrer, à faire connaissance,
vite, avant la fin
du Monde de souffrance, un Monde en chute libre,
oui, comme sous l’emprise de Quelqu’être Malin !
Purée ! Qu’il est loin cet amour divin
cher aux religions !…
Le Livre des Pourquoi,
la Bible, sonne le glas de nos illusions ;
au son de la voix de son personnage central,
notre pauvre Monde passera… par le feu !
C’est Christ et sa croix
oui, l’unique passage vers le Ciel radieux,
vers la Terre nouvelle…
Et pour y renaître, fallait que Dieu meure !
Oui, le Créateur donne sa vie, son sang
pour faire son enfant de qui lui dit oui...
avant l’éclipse…
du Temps !...
J.M.Lempereur.
Ô Dieu, sonde-moi et connais mon coeur !
Éprouve-moi et connais mes pensées !
Regarde si je suis sur une mauvaise voie,
Et conduis-moi sur la voie de l'éternité.
Je vous invite à la dire à Dieu de tout votre coeur, maintenant, et plusieurs fois pour qu'elle reste dans votre mémoire. Et que vous lisiez assidûment la Bible pour que le Seigneur vous montre le chemin à suivre. En étant attentif à ces choses, vous verrez votre vie changer et vous n'aurez plus de crainte à l'idée de devoir rendre des comptes à Dieu. Ce faisant, vous et moi serons dans le même groupe, ensemble, marchant dans la bonne direction.
Yvan Dussart - L'oncle Yvan de Tourne-Bride
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Pour la période du 10 au 30 octobre 2011.
Lecture proposée : Malachie 3 :6 à 21.
" Abraham lui donna la dîme de tout le butin…. "
Genèse 12 :20.
La dîme.
Sujet scabreux et sensible. Peu de prédicateurs aiment à en parler, tant il est délicat et propre à susciter des crises d’urticaire( !) parmi les auditeurs. Ceux qui osent sont accusés de " judaïser ", car il faut bien le reconnaître, il est difficile d’en parler sans finalement en recommander la pratique.
La dîme n’est pas une ‘’taxe en plus’’ pour le chrétien mais une invitation qui lui est faite par Dieu à participer, selon ses moyens, aux frais de la chose de Dieu sur cette terre. De l’église, de ses œuvres, de ses pauvres, des œuvres charitables et des œuvres d’évangélisation, éditions des bibles et littératures chrétiennes, … Les besoins sont divers et importants.
Le prophète Malachie nous dit que la pratique de la dîme et de l’offrande généreuse a pour conséquence d’ouvrir " les écluses des cieux " sur les bienfaiteurs et de leur envoyer les bénédictions de Dieu en abondance. Et c’est vrai. Beaucoup de chrétiens la pratiquent et en font l’heureuse expérience. Alors, pourquoi s’en priver ?
On entend dire souvent : nos églises ne sont pas riches. Oui, peut-être. Mais si on regarde le nombre et la qualité des voitures qui stationnent devant le lieu de culte, le dimanche matin, on peut plutôt déduire que ce sont les chrétiens qui sont pingres quand il s’agit de soutenir la communauté chrétienne. Ne soyons pas " chiches " quand nous préparons notre offrande, au contraire, soyons généreux. Dieu n’a-t-il pas dit ; " j’honorerai celui qui m’honore ". ?
Octobre 2011.- Yvan Dussart
u 1 au 10 octobre 2011.
C’est quand le bonheur ? ? ?
Je me suis inspiré de l’éditorial d’une revue scientifique pour des scientifiques. En effet, ce n’est pas courant que des scientifiques s’intéressent au bonheur.
Voilà, la rentrée est derrière nous et avec elle les bonnes résolutions prises pendant les vacances. Suivre un régime et faire des exercices pour perdre du poids, cesser de fumer, ne plus boire d’alcool, … et pourquoi n’avoir pas décidé d’être heureux, tout simplement? Parce que non, ça ne s’attend pas, ça ne s’espère pas, ça se décide ! (*)
" Çà se décide ". On pourrait ajouter : ça se choisit. Le bonheur est loin d’être le dernier concept à la mode, c’est un sujet d’étude complexe et vieux comme le monde, autour duquel gravitent énormément de disciplines (psychologie, neurologie, biologie, sociologie, philosophie ) ce qui donne forcément lieu à différents courants de pensée. (*)
On pourrait ajouter à toutes ces disciplines : la théologie. Ceux qui acceptent que Dieu est le créateur du monde et des hommes, il aurait dès lors quelque chose à dire sur le bonheur. II ne s’en prive pas d’ailleurs tant il est intéressé par le sujet et tant est grand son désir de voir ses créatures heureuses ; du vrai bonheur qu’il est le seul à pouvoir leur donner.
Le bonheur tant désiré que Dieu donne a deux sources :
Il vient de l’Alliance conclue entre l’homme et Dieu. La repentance, la confession et la réparation autant qu’il est possible de faire, donne à Dieu la possibilité de combler le cœur du pécheur repentant d’une immense paix jusqu’ici inconnue.
Il vient aussi de la lecture attentive, répétée régulièrement et souvent, des évangiles et de la Bible en général, animée par la volonté d’écouter et d’agir selon les lumières reçues. La méditation (réfléchir en vue d’agir ) sur les grâces et vertus découvertes dans la personne de la divinité adorée et écoutée est de nature à inonder et faire déborder notre cœur d’une joie indicible, bienfaisante et rassurante.
Tout est là ! Non, le bonheur n’est pas dans le pré. Il est dans la proximité aussi proche que possible de Dieu et de notre bon Sauveur Jésus-Christ. Et s’il nous arrive encore trop souvent de tirer la mauvaise tête, c’est de notre côté qu’il faut en chercher les raisons. Allons à Lui avec confiance et " laissons-Le besogner en nous " (J.Calvin)
Yvan Dussart
. – septembre 2011.* G.Tran dans l’édito d’Athena, sept.2011.
Il pleure en portant en terre la semence
Revient avec grande joie quand il porte les gerbes ».
Psaume 126:6.
Les Semailles.
Il n'est jamais facile d'entreprendre des semailles. Il faut que la parcelle à ensemencer soit bien préparée, débarrassée des pierres, des mauvaises herbes. La semence sera jetée à la volée aussi régulièrement que possible. Une fois en terre, elle sera recouverte pour échapper aux oiseaux ravisseurs. De nos jours, les semoirs modernes font ce travail parfaitement. Le champ sera gardé en vue de chasser l'ennemi semeur de l'ivraie ou autres mauvaises herbes. Si la pluie tarde, il faudra arroser.
Le temps aidant, les semences vont germer. Le temps de la croissance montrera des plants robustes et bien formés. Le moment de la récolte est arrivé et les gerbes et corbeilles sont portés avec joie dans les hangars du cultivateur heureux.
L'idée est que si l'on veut manger et nourrir la communauté, il faut semer. Pourtant n'y a-t-il, au fond, une pratique plus stupide que d'enterrer de belles et bonnes graines qui pourraient donner de la belle farine? Oui, stupide, si on ne pense pas à l'avenir et aux besoins alimentaires qui viennent.
Dans l'évangile selon Matthieu, ch.13, Jésus-Christ raconte une parabole qui avertit le semeur qu'il y a plusieurs sortes de terrains où la semence peut tomber avec plus ou moins de chance de porter du bon fruit. Il faut le savoir. Dans cette parabole, Jésus définit le semence à semer comme étant la Parole de Dieu. (v.19 – 23.)
Dieu nous appelle à être de ces semeurs de la Parole de Dieu qui sans relâche font connaître la Bible autour d'eux. Aussi, parodiant ce qu'un homme politique disait au sujet de la calomnie, nous les chrétiens, nous pouvons dire : « semons, semons, semons encore,...il en restera toujours bien quelque chose ».
Le monde croyant tout connaître aujourd'hui est sûr et certain que cette connaissance lui suffit. Erreur ! Il ignore en grande partie le message et la teneur de la BONNE NOUVELLE de l'amour de Dieu pour tous les êtres humains. Un amour tellement grand qu'il a donné son Fils unique qui, en mourant sur la croix, à porté sur lui et a expié la faute de nos péchés.
Tout le monde doit le savoir. Dieu n'a d'autre moyen que vous, lecteurs « d'Enquiers-toi » pour ce travail de semailles. Il vous appelle aujourd'hui à ce noble et beau travail pour Jésus.« Semons, semons, semons encore,...il en restera toujours bien quelque chose ».
La semence, c'est la Bible. Le champ à ensemencer, c'est chez vous, à côté de chez vous, partout, même jusqu'aux extrémités du monde si Dieu vous y envoie. Pour ces semailles, nous serons ensemble, vous dans votre coin de terre et moi dans le mien.
Oncle Yvan de Tourne-Bride – Yvan Dussart –
du 21 au 30 septembre 2011,
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Pour la période du 10 au 21 septembre 2011.
« Quels fruits portiez-vous alors ? Des fruits dont vous rougissez maintenant ».
Romains 6.21
Porter du fruit.
La Bible donne très souvent son enseignement en employant des images, des paraboles,... Ainsi, l'être humain est souvent comparé à une plante, à un arbre, plus exactement. Voyez ce qu'il en est dit dans le Psaume 1. « Heureux l'homme ... - qui lit la Bible,- Il est comme un arbre planté près d'un courant d'eau ».
Un arbre généralement porte du fruit, des bons fruits. Des fruits selon son espèce. S'il ne porte pas de bons fruits, il est inutile. Dès lors on le coupe et il sert de bois à brûler. S'il porte de bons fruits, l'arboriculteur le soigne bien pour qu'il porte encore plus de fruits.
Si la Bible compare l'homme à un arbre, c'est que ses actions ou ses paroles sont les « fruits » qu'il porte. De bons fruits ou de mauvais fruits ?
Qui peut en juger ? Les autres humains, compagnons de vie ou de route ? Oui !. Mais Dieu qui est l'auditeur et le témoin silencieux de toutes nos paroles, faits et gestes, Il écoute et regarde. Il juge aussi, Il apprécie ou repousse, selon, la qualité de ce qui est fait ou/et dit. En plus, tout est noté, archivé, en vue du tribunal céleste devant lequel quiconque devra un jour se présenter. La Bible est formelle à ce sujet. Rien ne sera oublié, négligé. Les biscuits mangé à l'insu de la caissière du grand magasin, ... les paroles méchantes de calomnie ou de médisance écrites sur le mur de Facebook, ... Ainsi que les bonnes paroles ou gestes charitables pour les prochains, ... ceux que nous côtoyons, que nous rencontrons au détour du chemin. Rien n'échappera au juste, souverain et inflexible Juge qui jugera les vivants et les morts. Il écrit dans le grand livre qui sera ouvert en ce jour-là.
Dès lors, il faut que chacun de nous, fort de ce que Bible nous enseigne, nous nous appliquions, dès maintenant, à produire de bons fruits qui seront à la gloire de Dieu.
Que Dieu nous y aide chacun.
Oncle Yvan de Tourne-Bride – Yvan DUSSART - le 10 septembre 2011.
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Le 1er septembre, les écoliers et étudiants ont repris le chemin de l'école. Ils vont retrouver leur classe et suivre les cours choisis. L'école élémentaire est obligatoire pour des enfants jusqu'à 16 ans et plus tard, ceux-ci doivent choisir qu'elles seront les disciplines à étudier. Dans notre pays, l'école répond à toutes les formations désirées. Il n'en est pas ainsi partout dans le monde, loin s'en faut. Les écoliers et étudiants de notre pays ont un grand privilège, pouvoir étudier gratuitement ou à bon compte et aussi longtemps qu'ils le souhaitent. Même retourner à l'école quand on est à la pension !
A ceux qui viennent de reprendre les cours, je les exhorte à se mettre courageusement au travail, à ne pas se laisser distancer, à travailler régulièrement et ne pas se contenter de l'à peu près. Faites la chasse aux chronophages. Jeux divers, plaisirs, loisirs et la T.V. la chronophage par excellence. La T.V. est rarement une bonne enseignante. Il faut le dire ! Il faut le savoir ! On n'en sait jamais trop. Et la vie ne fait que très rarement des cadeaux.
En Suisse, on compare volontiers la vie à une « course en montagne ». Les dangers sont nombreux. Les efforts aussi. La prudence est de règle, et la persévérance également si on veut arriver au sommet. Par contre, les joies sont aussi au programme, les panoramas sont de toute beauté et de nombreuses fleurs, inconnues et rares, jalonnent le parcours. S'arrêter pour le pique-nique avec les compagnons de randonnée sont des joies inoubliables. Les montagnards en redemandent.
Je dirai que la virée en montagne peut aussi faire penser à la vie chrétienne. Ce qui est dit plus haut est vrai aussi pour la vie avec le Seigneur Jésus-Christ. Pour ma part, je n'ai jamais gravi que des « montagnes à vaches ». Sans autre danger que de se fouler la cheville sur un gros caillou du chemin. Mais je comprends bien la "parabole" de ce cantique.
Les Suisses ont de très beaux chants qui parlent de la course en montagne. Ils sont entraînants et faciles à chanter. Bien que cela date de plus de septante ans, je me souviens des paroles, du moins de trois strophes sur quatre. Les voici :
C'est vers la cime qui se dresse bien haut dans le ciel bleu,
Qu'il faut t'élancer, ô jeunesse, sous le regard de Dieu.
Laisse les brumes de la plaine, n'y redescends jamais,
Et suis l'étroit sentier qui mène au radieux sommet.
Avance en relevant la tête, le but est devant toi,
Avance et que rien n'arrête, ton courage et ta foi.
Et si parfois survient l'orage, si tout devient obscur,
Monte au dessus du noir nuage, tu trouveras l'azur.
Monte et que nul jour ne s'achève sans te trouver plus haut,
Sur le chemin qui seul t'élève vers l'idéal si beau.
Et quand viendra le jour suprême, le jour du grand adieu,
Tu monteras jusqu'au ciel même, à l 'appel de ton Dieu.
Je regrette mais la quatrième strophe ne me revient pas en mémoire. Je crois néanmoins que vous en savez déjà assez pour faire de cette nouvelle année académique qui commence pour vous, comme une joyeuse course en montagne. Je vous le souhaite de tout mon cœur. Et je le demanderai à Dieu tous les jours, spécialement « pour tous ceux qui sont venus à Tourne-Bride », comme je le fais pieusement tous les soirs. J'y inclus aussi « tous ceux qui viennent sur le WEB de Tourne-Bride »
Yvan Dussart. 1 sept.2011,
P.S. Y aurait-il quelqu'un parmi les internautes qui pourrait m'indiquer comment retrouver ce beau cantique ? Il existe dans le cantique « C'est vers la Cime » édité pour les jeunes des groupes UJEB et pour les camps. Cette édition date de la fin de la guerre 40-45.
Sur ce site vous pouvez trouver les adresses pour me contacter. Merci à l'avance. Y.D.
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Pour cette fin de l'été, nous vous soumettons un beau poème écrit par notre chère Jacqueline, membre de l'asbl TOURNE-BRIDE.
LES SAISONS DE LA VIE.
Quand le printemps renaît,
Quand les bourgeons éclosent
Quand nous voyons le réveil de toutes choses,
Seigneur, tu es là.
Quand l'été éclate en couleurs,
Que la terre nous montre sa splendeur,
Se décline en mille fleurs,
Seigneur, tu es là.
Quand l'automne vient, que part la chaleur,
Quand la nature change de couleur,
Quand le soleil est avare des ses lueurs,
Seigneur, tu es là.
Quand l'hiver étend son manteau gris,
Quand le givre s'accroche aux branches démunies,
Quand de froid le pays s'engourdit,
Seigneur, tu es là.
Comme les saisons, les années de nos vies passeront,
La jeunesse sera enfuie, notre pas ralenti,
Des cheveux blancs formeront une auréole sur nos fronts,
Mais, quand nous fermerons les yeux ici-bas pour la dernière fois,
Seigneur, tu seras là.
Jacqueline Crommelinck-Vilain.
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Pour la période du 11 au 20 août 2011.
Jésus a dit:" Je suis le chemin, la vérité et la vie, Personne ne vient au Père (Dieu) que par moi" Jean 14:6.
Un seul chemin pour entrer dans la faveur de Dieu.
"Il faut de tout pour faire un monde" entend-on souvent dire lorsqu'on parle des gens et de leur différence. Oui, c'est bien vrai, mais quel monde?
Dans le domaine courant, on voit de tout, c'est aussi vrai. Les voitures, les façons de se vêtir, de se nourrir, etc. C'est une grande diversité depuis le "classique" jusqu'à ce qu'il y a de plus drôle, original et même saugrenu et hors des normes admises généralement, parfois aussi, provoquant et indécent.
Il en va de même dans les religions. Les dieux sont nombreux et portent des noms différents. Leurs prophètes aussi. Il n'y a qu'un dieu, dit-on, mais il porte des noms différents. Hâ chem pour les Juifs, allah pour les islamistes, Jéhovah pour ses témoins, vischnou... Et ici aussi, on entend des affirmations étranges, telles "toutes les religions se valent, elles sont toutes bonnes, pourvu qu'on soit sincère. Mêmes les hommes et les poètes chantent :"On ira tous au paradis, on ira..."
Dans la pratique des religions, c'est la même cacophonie. Pour les uns, les hommes doivent porter la barbe ou se raser chauve, avoir la tête couverte, les femmes doivent se baigner toute habillée et porter devant elles un immense voile qui les cache entièrement. La prière? Sans cesse ou cinq fois par jour, trois fois par jour, ou quand on veut. Pour la nourriture , c'est la même chose. Bref, chacun a sa singularité, ses règles et ses commandements.
Ne peut-on pas dire: chacun a son originalité, son cachet personnel, parce qu'en réalité, dans les livres de ces religions, on trouve peu d'éléments qui commandent ces comportements extérieurs. Ce sont des commandements d'hommes en vue de dominer les adeptes.
Dieu, le Dieu de la Bible, trois fois saint, s'est révélé par des hommes à qui Il a donné Sa Parole. Ils sont plus de quarante connus et non pas un seul comme c'est le cas dans d'autres religions. En plus, Dieu a envoyé Jésus, Dieu à part entière parmi les hommes. Sauveur puissant pour racheter l'humanité tout entière, du moins ceux parmi les humains qui en sont informés et qui le veulent bien.
Jésus, Dieu parmi les hommes, donnant sa vie pour régler la question du péché, est dénié par les autres religions. Ce faisant, "elles sont du diable -dixit l'apôtre Jean dans sa lettre aux Chrétiens. Parmi ceux qui nient et rejettent Jésus Dieu Sauveur, l'islam est le plus violent, il est même le grand persécuteur des Chrétiens.
Pourtant, par la Bible, nous savons que Dieu aime tous les hommes, quelle que soient leurs croyances: les Islamistes, écartés de la Bible par leurs responsables, l'ignorent. Quand ils l'apprennent, beaucoup se tournent vers ce Dieu d'amour, et font alliance avec Lui. Malheureusement ceux-ci doivent alors se cacher, sinon à leur tour, ils subissent la persécution et même la mort.
Pendant le ramadan qui se vit de nos jours du 1er au 30 août, temps de retour sur eux-mêmes, les Islamistes vont réfléchir à la manière dont ils vivent leur foi en Islam. Mais pendant cette période, des centaines de miliers de Chrétiens de par le monde, vont prier Dieu pour les Musulmans et pour les missionnaires chrétiens qui prêchent la Parole de Dieu parmi eux, afin que les Islamistes sincères puissent recevoir les informations de la Bible et devenir des enfants du vrai Dieu, sauvés par le sacrifice de Jésus.
J'appelle ceux qui croient en la valeur de la prière à Dieu à rejoindre les Chrétiens qui prient pour les Musulmans. Je les appelle aussi aussi à s'enquérir si leur église est informée de la chose. Sinon, il y a lieu de le faire savoir et d'organiser des temps de prière dans la Communauté.
Un guide de prière a été édité à ce sujet: on peut le trouver la Librairie Metanonia, avenue des Celtes, 21 à 1040 Bruxelles. ~02 734 21 62 ~ 1€/exempl.
Entendons tous l'appel des Chrétiens persécutés par l'Islam et prions pour eux et pour des conversions parmi les Islamistes. Demandons que ceux-ci deviennent à leur tour des témoins du Seigneur Jésus-Christ hors des ténèbres de l'Islam.
Oncle Yvan de Tourne-Bride.
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Pour la période du 1er au 10 août 2011.
Où est le chemin qui conduit à la lumière? Job 38:19.
Jésus a dit "Moi je suis le chemin..." Jn 14:6.
Job cherche la lumière. Aujourd'hui, beaucoup de gens cherchent la lumière. Mais de quelle lumière s'agit-il?
Il n'est pas question pour Job de chercher une lampe, une bougie, un phare pour trouver son chemin! Non!
Job a surtout besoin d'une lumière intérieure qui va éclairer son vécu dramatique. Job subissait de grandes souffrances: il avait perdu ses enfants et même sa femme n'était plus solidaire de ce qu'il vivait. Ses amis, venus en visite, avaient plutôt tendance à l'accabler qu'à l'encourager à supporter ses souffrances.
Les amis de Job ne sont pas de très bon conseil et le coeur de Job est dans l'obscurité: il ne comprend pas pourquoi tous ces malheurs lui sont envoyés.
On comprend facilement qu'il ait besoin de lumière afin de pénétrer les secrets de son exitence fortement chahutée.
Job ne possédait pas la Bible telle que nous la possédons mais attentif aux révélations de Dieu, il aurait découvert dans le Nouveau Testament ce que Paul dit aux Romains: "Toute chose concourre au bien de celui qui aime Dieu" Ch. 8:28.
Si d'aventure il nous arrive à nous chrétiens de traverser une zone de grande turbulence, il faut que nous consultions la Bible en essayant de comprendre si de notre part, il n'y a pas une partie de la cause de ces turbulences. Les réparer autant que possible, et demander au Saint-Esprit qui applique à nos coeurs la Parole de Dieu de nous aider à discerner les réalités de ce que nous vivons.
Nous pouvons compter sur la réponse de Dieu qui, au moment favorable, nous enverra Sa lumière sur notre chemin.
Notre texte d'aujourd'hui nous dit que Jésus est la Lumière et que celui qui marche près de Lui aura la lumière et ne marchera plus dans les ténèbres.
Oncle Yvan de Tourne-Bride.
Yvan Dussart.
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Pour la période du 21 au 31 juillet 2011.
(Jésus dit : ) Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos.
Matthieu 11. 28
Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive. Jean 7. 37
À celui qui a soif, je donnerai, moi, gratuitement, de la fontaine de l'eau de la vie.
Apocalypse 21. 6
Une offre universelle et gratuite
Ce qu'il y a d'extraordinaire dans les invitations de Jésus que nous rappelons aujourd'hui, c'est qu'elles sont pour tous, et qu'elles sont gratuites. En cela elles résument l'évangile.
– L'évangile est pour tous : il est universel, chacun peut en bénéficier. Personne ne le mérite, mais il est offert à tous, personne n'en est exclu. D'innombrables personnes, très différentes par leur culture, leurs origines, leurs aspirations, ont pu expérimenter que Jésus tient ses promesses.
– L'évangile est gratuit : il est même impossible de l'acheter. C'est à prendre ou à laisser : un véritable don, un amour pur, divin, sans contrepartie. Peut-être sommes-nous sceptiques : qu'est-ce que cela cache ? ou déçus : alors il n'y a plus rien à faire de méritoire ? Mais comprenons bien que si le salut est gratuit pour nous, il n'en a pas été ainsi pour Dieu. Il l'a payé de la mort de son Fils. Que pourrions-nous ajouter ? Rien, si ce n'est l'accepter avec reconnaissance.
Et où nous introduit l'évangile ? Dans un autre monde, un monde moral, que la Bible appelle le Royaume de Dieu, où la confiance remplace la suspicion, où la joie et la paix chassent l'amertume et la tristesse. Nous nous imaginons peut-être que la vie chrétienne est faite de privations, triste et monotone. Tout au contraire ! Dieu nous donne des choses excellentes. Et même quand les circonstances de la vie sont difficiles, en Jésus Christ nous avons un ami fidèle, à qui nous pouvons tout dire, qui nous encourage et nous console.
Yvan DUSSART (d'après le calendrier La Bonne Semence) Oncle Yvan de Tourne-Bride 20 juillet 2011.
" Nous sommes devenus les compagnons du Christ, si du moins nous retenons fermement jusqu’au bout notre assurance ". Héb.3 : 14.
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Pour la période du 11 au 20 juillet 2011.
Être compagnon du Christ.
Ce texte s’adresse à des chrétiens. Je trouve que le mot " compagnon " est un titre merveilleux. Compagnon, celui qui accompagne, celui qui marche avec, celui qui marche à côté...
Pour l’apôtre Paul, il n’est plus seulement question de " suivre " le Christ comme les brebis suivent le bon berger dans l’Évangile (Jean 10) mais d’être " à sa hauteur ", auprès de Lui afin de recueillir es et de pouvoir lui parler intimement tout en cheminant sur la route étroite qui conduit à la maison de Dieu.
Voilà bien une position de choix pour un chrétien, ce qui donne à sa vie spirituelle des saveurs agréables et nouvelles chaque matin.
Il y a toutefois une condition, nous est-il dit dans notre texte, la voici : " retenir fermement son assurance ". De quelle assurance est-il question ? En voici l’explication : Lorsque que quelqu’un entend la parole de Dieu qui lui demande de faire alliance avec Lui, celui qui fait cet acte de foi en la parole de Dieu, qui décide en son cœur de faire confiance à Dieu, de prendre au sérieux Sa parole,... en échange, Dieu signe aussi ce contrat qui assure à l’autre contractant la vie éternelle. Celui-ci devient un " chrétien ", il est du Christ . Parce que Dieu ne ment pas, le chrétien a l’assurance de la vie éternelle. " Rien ne peut nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ " (Romains 8 : 37 à 38.)
Ainsi, pour garder cette assurance, il faut nourrir sa foi en Dieu en l’alimentant chaque jour de Sa parole, nourriture indispensable à sa bonne santé. Ceci n’est pas pénible. Pour celui qui veut plaire à Dieu et ainsi être à la bonne place pour recevoir Ses lumières et Ses bénédictions, il suffit d’un peu de discipline et d’ouvrir sa Bible chaque jour. La lecture biblique et la prière à Dieu font partie de ce " compagnonnage " béni.
Je vous souhaite d’être un vrai " compagnon de Jésus ".
L’Oncle Yvan de Tourne-Bride - Yvan Dussart. – période du 10 et 20 juillet 2011..
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" Or, sans la foi il est impossible d’être agréable à Dieu "
Hébreux 11. 6.
Avoir la foi.
Avoir la foi ? ce n’est pas croire n’importe quoi, n’importe qui. Ceci ne serait pas la vraie foi. La foi dont il est question dans la Bible, en général, est un mot riche de plusieurs sens.
Dans la pratique, ces aspects différents de la foi font un tout. Souvenons-nous que la foi vient de la parole du Christ
Aussi, si vous n’avez pas de Bible, demandez-la. Elle vous sera envoyée gratuitement.
" Or, sans la foi il est impossible d’être agréable à Dieu "
Hébreux 11. 6.
Avoir la foi.
Avoir la foi ? ce n’est pas croire n’importe quoi, n’importe qui. Ceci ne serait pas la vraie foi. La foi dont il est question dans la Bible, en général, est un mot riche de plusieurs sens.
Dans la pratique, ces aspects différents de la foi font un tout. Souvenons-nous que la foi vient de la parole du Christ
Aussi, si vous n’avez pas de Bible, demandez-la. Elle vous sera envoyée gratuitement.
" Or, sans la foi il est impossible d’être agréable à Dieu "
Hébreux 11. 6.
Avoir la foi.
Avoir la foi ? ce n’est pas croire n’importe quoi, n’importe qui. Ceci ne serait pas la vraie foi. La foi dont il est question dans la Bible, en général, est un mot riche de plusieurs sens.
Dans la pratique, ces aspects différents de la foi font un tout. Souvenons-nous que la foi vient de la parole du Christ
Aussi, si vous n’avez pas de Bible, demandez-la. Elle vous sera envoyée gratuitement.
EDITORIAL
Je me suis inspiré de l’éditorial d’une revue scientifique pour des scientifiques. En effet, ce n’est pas courant que des scientifiques s’intéressent au bonheur.
Voilà, la rentrée est derrière nous et avec elle les bonnes résolutions prises pendant les vacances. Suivre un régime et faire des exercices pour perdre du poids, cesser de fumer, ne plus boire d’alcool, … et pourquoi n’avoir pas décidé d’être heureux, tout simplement? Parce que non, ça ne s’attend pas, ça ne s’espère pas, ça se décide ! (*)
" Çà se décide ". On pourrait ajouter : ça se choisit. Le bonheur est loin d’être le dernier concept à la mode, c’est un sujet d’étude complexe et vieux comme le monde, autour duquel gravitent énormément de disciplines (psychologie, neurologie, biologie, sociologie, philosophie ) ce qui donne forcément lieu à différents courants de pensée. (*)
On pourrait ajouter à toutes ces disciplines : la théologie. Ceux qui acceptent que Dieu est le créateur du monde et des hommes, il aurait dès lors quelque chose à dire sur le bonheur. II ne s’en prive pas d’ailleurs tant il est intéressé par le sujet et tant est grand son désir de voir ses créatures heureuses ; du vrai bonheur qu’il est le seul à pouvoir leur donner.
Le bonheur tant désiré que Dieu donne a deux sources :
1) Il vient de l’Alliance conclue entre l’homme et Dieu. La repentance, la confession et la réparation autant qu’il est possible de faire, donne à Dieu la possibilité de combler le cœur du pécheur repentant d’une immense paix jusqu’ici inconnue.
2) Il vient aussi de la lecture attentive, répétée régulièrement et souvent, des évangiles et de la Bible en général, animée par la volonté d’écouter et d’agir selon les lumières reçues. La méditation (réfléchir en vue d’agir ) sur les grâces et vertus découvertes dans la personne de la divinité adorée et écoutée est de nature à inonder et faire déborder notre cœur d’une joie indicible, bienfaisante et rassurante.
Tout est là ! Non, le bonheur n’est pas dans le pré. Il est dans la proximité aussi proche que possible de Dieu et de notre bon Sauveur Jésus-Christ. Et s’il nous arrive encore trop souvent de tirer la mauvaise tête, c’est de notre côté qu’il faut en chercher les raisons. Allons à Lui avec confiance et " laissons-Le besogner en nous " (J.Calvin)
EDITORIAL
Je me suis inspiré de l’éditorial d’une revue scientifique pour des scientifiques. En effet, ce n’est pas courant que des scientifiques s’intéressent au bonheur.
Voilà, la rentrée est derrière nous et avec elle les bonnes résolutions prises pendant les vacances. Suivre un régime et faire des exercices pour perdre du poids, cesser de fumer, ne plus boire d’alcool, … et pourquoi n’avoir pas décidé d’être heureux, tout simplement? Parce que non, ça ne s’attend pas, ça ne s’espère pas, ça se décide ! (*)
" Çà se décide ". On pourrait ajouter : ça se choisit. Le bonheur est loin d’être le dernier concept à la mode, c’est un sujet d’étude complexe et vieux comme le monde, autour duquel gravitent énormément de disciplines (psychologie, neurologie, biologie, sociologie, philosophie ) ce qui donne forcément lieu à différents courants de pensée. (*)
On pourrait ajouter à toutes ces disciplines : la théologie. Ceux qui acceptent que Dieu est le créateur du monde et des hommes, il aurait dès lors quelque chose à dire sur le bonheur. II ne s’en prive pas d’ailleurs tant il est intéressé par le sujet et tant est grand son désir de voir ses créatures heureuses ; du vrai bonheur qu’il est le seul à pouvoir leur donner.
Le bonheur tant désiré que Dieu donne a deux sources :
Tout est là ! Non, le bonheur n’est pas dans le pré. Il est dans la proximité aussi proche que possible de Dieu et de notre bon Sauveur Jésus-Christ. Et s’il nous arrive encore trop souvent de tirer la mauvaise tête, c’est de notre côté qu’il faut en chercher les raisons. Allons à Lui avec confiance et " laissons-Le besogner en nous " (J.Calvin)
EDITORIAL
